🔺 On a été très touché par Gaby’s Cali Co. Une artiste complètement hors du temps, une espèce de globe-trotteuse qui va outre-Atlantique afin de suivre ses artistes préférés, et qui se retrouve au final à créer son EP. Autant vous dire qu’on a mille choses à vous raconter sur elle, mais pour le moment on va se contenter de vous faire découvrir une partie de sa personnalité de façon très succincte certes, mais afin de pouvoir vous parler d’elle plus tard de façon un peu plus approfondie. Ces quelques questions sont donc une mise en bouche en attendant allez découvrir son univers et on s’en reparle plus tard. C’est un peu comme son clip, qui est plus un témoignage de son voyage initiatique.

Tu as une culture assez oldies d’où vient-elle? –

Mes parents m’ont mise sur les rails très jeune et j’ai vite été curieuse. Je voulais savoir qui inspirait mes groupes actuels préférés, et ainsi de suite, qui inspirait ces inspirations-là.

Comment tu fais pour te retrouver de l’autre côté de l’Atlantique, avec ses musiciens incroyable?

J’y avais déjà suivi une tournée en 2018, pour revenir 3 ans après voir le groupe Oingo Boingo. Deux des membres qui jouaient dans un autre supergroupe (jackiO), m’ont présenté ces camarades, et m’ont vite accueillie dans leur famille musicale. À la base, je voulais juste les interviewer pour mon ancien podcast !

Quels sont les intervenants que tu as eu sur ton ep?

L’EP est produit, co-écrit et enregistré avec mon mentor, Ira Ingber. C’est juste nous deux partout, sauf « Chasing Moonlight », avec son groupe : co-écrit et produit par le batteur David Raven, avec des flûtes arrangées et jouées par Steve Bartek, et John Avila à la basse.

Les prochaines étapes pour toi quelles sont-elles? –

Retourner sur scène en France ! J’ai un musicien qui m’y accompagne (Lucas de la Rosa), on arrange et présente un set solide – ce projet ne demande qu’à jouer maintenant. Puis retourner voir Mr. Ingber en fin d’année, esquisser le 2ème album !

Florian Hodbert